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Description |
Les réduves se caractérisent par la présence d'un sillon,
situé sur le prosternum. Les nymphes et les adultes émettent une
stridulation en frottant leur rostre (bec) dans le sillon
tapissé de
crêtes transversales. Le rostre composé de trois articles est robuste.
Il
se projette antérieurement avant de se replier sous la tête. Les pattes des réduves se sont transformées de diverses manières pour capturer leurs victimes. Armature d'épines, poils collants, ventouses ou pinces sont des exemples des adaptations observées chez ces redoutables prédateurs. |
Un réduve nymphe Zelus luridus et sa proie. |
Nombres | On observe au Québec neuf genres et 15 espèces de réduves (Roch, 2024). Il y aurait 981 genres et 6878 espèces mondialement (Henry, 2009). | |
Alimentation | Les réduves sont des prédateurs qui s'alimentent d'arthropodes (insectes, araignées). On n'observe pas au Québec les espèces qui se nourrissent du sang des vertébrés (Triatoma sp., par exemple). Plusieurs espèces chassent à l'affût et attendent que leur proie soit à proximité pour la saisir. Les Emesinae squattent les toiles d'araignées. | |
Taille | Les espèces du genre Empicoris sont les plus petites (4 à 7 mm). Phymata est un peu plus longue (8,5 à 9,5 mm) alors que les autres espèces mesurent entre 11 et 20 mm. | |
Taxinomie | Les taxinomistes s'entendent maintenant pour considérer les Phymatinae comme une sous-famille des Reduviidae. D'après Hart (1986), Zelus audax et Z. socius sont synonymes de Z. tetracanthus. Le même auteur affirme aussi que les mentions de Zelus exsanguis Stål sont probablement plutôt celles de Z. luridus. | |
Notes | Les réduves s'observent dans une très grande variété d'habitats, pour autant que des proies soient présentes. Au sol, sur les arbres, sur les plantes herbacées dans les champs ensoleillés, sur les plantes en fleur, sur les Graminées dans les milieux humides ou même dans les habitations. |
Emesinae | ||
La sous-famille
comprend deux genres et cinq espèces au Québec. Barce
fraterna regroupe quelques races, notamment Barce fraterna annulipes
(photo). Les réduves appartenant à ce groupe se distinguent notamment
par la finesse et la
longueur spectaculaire de leurs pattes médianes et
postérieures. Aussi, les hanches
(coxae) des pattes antérieures sont
exceptionnellement allongées, c'est-à-dire au moins quatre
fois plus longues que larges. Ces réduves se déplacent
lentement et se
balancent sur leurs longues pattes lorsqu'ils sont dérangés. La
structure des pattes avant est très différente de celle des deux autres
paires de pattes puisqu'elles ne servent pas à la marche mais plutôt à
la
capture de proies et au toilettage. Les Emesinae sont des insectes nocturnes. On les observe dans l'herbe, sous des pierres, des souches, et en forêt, dans la litière de feuilles. Barce sp. semble aimer les milieux humides. Plusieurs réduves, notamment B. fraterna et Empicoris vagabundus s'établissent sur les toiles d'araignées. La structure de leurs griffes, qui rappelle celle de certaines araignées, leur permet de se déplacer sur une toile sans s'y empêtrer. Ils s'alimentent des insectes capturés par la toile et même aussi des araignées ou de leurs oeufs. |
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Barce fraterna annulipes mâle et femelle. |
Barce fraterna annulipes détail. |
Selon Readio (1926), ce type d'oeuf allongé et mince, gravé de rayures longitudinales et fermé par un opercule en pointe est typique des Emesinae. L'oeuf unique est attaché à un support végétal ou à un objet le long du côté de l'oeuf, près de la base. |
Ci-dessus, l'accouplement de Barce fraterna, probablement appartenant à la race annulipes. L'insecte est de petite taille (10 mm) par rapport à B. fraterna fraterna, par exemple. De plus, la longueur de la hanche divisée par celle du tibia de la patte avant donne un résultat plus petit que 0,7. Chez les Metapterini, auquel appartient le genre Barce, un sternite de l'abdomen est membraneux et permet au mâle de se plier lors de l'accouplement et à la femelle d'en faire autant lors de l'oviposition (Wygodzinsky, 1966). | ||
Harpactorinae | ||
La sous-famille comprend quatre genres et cinq espèces au Québec. Acholla et Sinea se distinguent des autres genres par leurs larges fémurs antérieurs granuleux et armés d'épines. Zelus a les pattes antérieures fines, le premier article du rostre court et son pronotum comporte deux épines latérales. Fitchia est généralement aptère. Sa couleur très typée est pâle et traversée d'une large bande longitudinale foncée sur l'abdomen. | ||
Acholla multispinosa et Sinea diadema | ||
Acholla multispinosa
et Sinea diadema
sont superficiellement semblables. Les fémurs
des pattes avant des deux espèces sont renflés, granuleux et pourvus de
larges épines. Pour les
différencier, il faut observer la face ventrale des tibias de la patte
avant et la partie antérieure du pronotum. S. diadema est
pourvu d'épines sur les tibias et sur le pronotum. A. multispinosa n'a
pas d'épines sur les tibias de la patte avant; sur le pronotum, on
observe plutôt des
tubercules. Par ailleurs, A. multispinosa vit sur les arbres alors que S. diadema préfère les plantes herbacées dans les champs ensoleillés. |
Acholla multispinosa |
Sinea diadema |
Sinea diadema. Sur le tibia des pattes avant, il y a trois paires de larges épines. Sur une photo, on en voit parfois une série de trois et même pas du tout, selon l'angle d'observation. | Acholla multispinosa. Les tibias des pattes avant ne sont pas armés de larges épines comme celles présentes sur les tibias de S. diadema. | Acholla multispinosa. La position des antennes ramenées vers l'arrière puis repliées vers l'avant est souvent observée. Notez la dense pilosité aplatie et le rostre très court. |
Sinea diadema | Acholla multispinosa | Acholla multispinosa |
Nymphe Sinea diadema sur de l'asclépiade. | À la fin juin, six immatures Acholla multispinosa circulent sur les branches basses d'un Pin sylvestre. Les punaises qui ont mué depuis peu sont rougeâtres. Dans la même section de l'arbre, deux adultes sont observés au début du mois d'août suivant. | |
Sinea diadema Readio (1927) a élevé en captivité cette espèce et a observé ce qui suit. La femelle dépose en moyenne entre 8 et 12 oeufs pondus en rangées doubles sur les feuilles et les tiges de plantes herbacées. L'auteur a observé des masses de 22 oeufs. En laboratoire, la femelle la plus féconde a déposé 412 oeufs, sur une période de deux mois. Lorsque la femelle dépose son oeuf, le collet circulaire qui borde l'opercule est replié sur lui-même. Il se déploie moins d'une minute plus tard. Le temps d'incubation est de 10 à 14 jours. L'oeuf étant opaque, on ne peut pas observer le développement de la punaise à l'intérieur de l'oeuf. Acholla multispinosa Les oeufs sont déposés en masses compactes de 33 à 40 oeufs sur les branches d'arbres où se développe cette punaise. La femelle choisit un emplacement protégé par un bourgeon ou qui est situé à l'aisselle d'une tige secondaire. L'espèce hibernerait au stade d'oeuf et produirait une seule génération par année (Readio, 1927). |
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Fitchia aptera | ||
Fitchia
aptera peut avoir les ailes longues ou courtes. Les angles
latéraux du pronotum ne sont pas prolongés en épine. D'après la description de Blatchley (1926), la présence de l'espèce semble associée aux environnements sablonneux. L'auteur observe que sa distribution aux États-Unis est étendue mais sans être abondante. |
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Zelus luridus | ||
La couleur de Zelus luridus est assez variable. Elle est parfois verte avec une coloration brune plus ou moins étendue sur le dos. D'autres individus sont brun foncé avec peu de zones vertes. Le pronotum est armé de 2 épines latérales. Cette espèce aime l'ombre et le feuillage qui la camoufle bien. On l'observe en abondance dans la grande région de Montréal. | ||
Accouplement. La femelle est maintenue en place par les pattes et le rostre du mâle. | Prédation. | Chez le genre Zelus, le premier article du rostre (A) n'est pas plus long que la moitié du second article. |
Zelus luridus nymphe | ||
Les nymphes Zelus luridus sont typiquement vertes avec des motifs longitudinaux jaunes et orange sur le dos. Contrairement à d'autres espèces de réduves, les pattes avant des Zelus ne semblent pas bien équipées pour la capture de proies. Ce sont les denses poils collants qui tapissent les tibias avant (ci-dessous à droite) qui leur permettent de saisir de petits insectes. Le réduve ne maintient pas sa proie avec ses pattes le temps qu'il s'en nourrit. Celle-ci reste suspendue dans les airs, au bout du rostre. | ||
Masse d'oeufs caractéristique du genre Zelus. |
Ci-dessus, 35 nymphes Zelus sp. fraîchement émergées de la masse d'oeufs sous une feuille d'Ostryer de Virginie. |
L'une de celles observées sur la photo à gauche. |
Zelus tetracanthus | ||
Adulte Zelus tetracanthus en position défensive. |
Nymphe Zelus tetracanthus. |
Ci-dessus, la pose que prennent souvent certains réduves lorsqu'ils sont dérangés. Face à l'intrus, ils soulèvent et replient leurs pattes avant vers l'arrière. |
D'après le site de University of California Riverside, les nymphes de premier stade n'ont pas de glandes pour produire la substance collante qui tapisse les poils des tibias avant, et qui leur permettent de saisir leurs proies. Pour compenser ce manque, la nymphe prélève de la masse d'oeufs une substance collante qu'elle utilisera jusqu'à sa mue au second stade. | ||
Une des plus prolifiques femelles Z. luridus gardée en captivité a pondu en trois mois 444 oeufs regroupés en 11 masses (Readio, 1927). |
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Phymatinae (punaises embusquées) | ||
Autrefois une
famille à part entière, les Phymatinae ont été relégués au rang de
sous-famille des Reduviidae. Au
Québec, les deux espèces présentes appartiennent au genre Phymata.
Elles sont relativement difficiles à différencier l'une de l'autre, à
partir de photos, contrairement au genre lui-même qui est très typé et
facile à reconnaître. |
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L'abdomen élargi au centre et traversé d'une bande sombre est caractéristique. La couleur de base varie selon les individus. La patte avant s'est transformée au fil de l'évolution: la hanche allongée se termine par le fémur renflé qui forme une pince avec le tarse recourbé (Weirauch et al., 2011). | ||
Ci-dessus, trois nymphes à des stades de croissance différents. Celle de droite, aux fourreaux alaires bien développés, est probablement au stade V. | ||
Ci-dessus, un mâle et une femelle de teinte verdâtre. Le mâle couvre souvent une femelle sans pour autant s'accoupler. Il la protège d'autres mâles concurrents. Les réduves chassent à l'affût parmi les fleurs qui attirent une foule d'insectes qui s'alimentent de nectar, de pollen, des sépales, etc. | Phymata sp. peut être verdâtre mais aussi orange et noire. Même si cette couleur la rend quasiment invisible sur les fleurs de verge d'or, Balduf (1939) a conclu que cette espèce ne semblait pas choisir un terrain de chasse en fonction de l'efficacité de son camouflage sur une plante mais plutôt lorsque les proies y étaient abondantes. | Sur une fleur de trèfle, cet adulte aux couleurs vertes et roses est parfaitement camouflé. |
En 1939, Balduf a
recensé pendant 3 mois les captures de Phymata pennsylvanica americana.
Voici le résultat de ses découvertes. La taille des proies variait
entre 3 et 54 mm, la moyenne étant entre 5 et 10 mm. Toutes
les proies, sauf une, étaient des insectes adultes ailés appartenant
aux Coléoptères (55 captures/ 6 espèces), Hyménoptères
(36/17),
Lépidoptères (51/16), Diptères (83/33) et Hémiptères (25/9). Certains insectes semblent immunisés contre les attaques de Phymata. Par exemple l'Oécanthe à pattes noires (Oecanthus nigricornis), le Méloé noir (Epicauta pennsylvanica) et la cantharide (Chauliognathus pennsylvanicus) n'ont pas été capturés, même s'ils étaient présents et même abondants sur les sites étudiés. L'auteur croit que la taille, la robustesse ou l'absence de prises pour saisir la proie permettent à certains insectes d'échapper à Phymata (Balduf, 1939). À droite, Phymata a capturé une guêpe beaucoup plus grande qu'elle. La punaise se cache sous les fleurs et attend les proies qui s'y posent. Étonnant, quand on considère la vivacité des guêpes! |
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Reduviinae | ||
Une seule espèce, le Réduve masqué (Reduvius personatus), représente la sous-famille au Québec. L'insecte vit à l'intérieur des habitations et se nourrit d'autres arthropodes (insectes, araignées). Il ne pique pas, sauf s'il est manipulé sans ménagement. Sa piqûre est très douloureuse, dit-on, mais ne transmet pas de maladie. Au stade de nymphe, le réduve mérite bien son nom latin. Reduvius pour « restes ou débris » et personatus pour « masqué », en latin. En effet, les nymphes sont équipées de divers mécanismes leur permettant de se couvrir de poussière et de divers débris. À l'extrémité du tarse avant, un groupe de poils disposés en éventail permet d'étaler les débris sur le corps. Des poils armés de crochets et des projections adhésives les retiennent en place (Weirauch, 2006). | ||
Observée à l'extérieur sur du béton, la nymphe est quasiment invisible. |
Les deux photos ci-dessus et à droite montrent deux nymphes à des stades différents qui s'alimentent à un perce-oreille. La différence de taille des réduves est remarquable. |
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Réduve masqué
adulte. Contrairement à la nymphe, l'adulte ne se camoufle pas avec des
débris. |
Les tibias antérieurs et intermédiaires comportent une petite zone que Dufour (1833) a décrite comme une « fossette spongieuse ». Près de l'articulation du tibia et du tarse, une surface adhésive qui rappelle la texture du velours servirait à agripper les proies. Ci-dessus, vis-à-vis de la flèche, une « fossette spongieuse » desséchée d'un spécimen. | Les oeufs sont pondus isolément et ne sont pas fixés à un support. Fabre décrit avec beaucoup d'éloquence la sortie de l'oeuf de la nymphe Réduve masqué. Une bulle de gaz créerait, de l'intérieur de l'oeuf, une pression sur l'opercule qui se déchire lorsque la nymphe est prête à éclore (Fabre, 1903). |
Photo à gauche. Le sillon (→ ), situé sur le prosternum, est tapissé de plus de 220 crêtes transversales invisibles ici mais perceptibles au fort grossissement d'une loupe binoculaire (Butler cité dans Readio, 1927). En frottant son rostre hérissé de poils raides le long du sillon, le réduve émet une stridulation. Divers événements peuvent déclencher ce phénomène, notamment lorsque l'insecte est perturbé. | ||
Stenopodainae | ||
Deux espèces du
genre Pygolampis
présentes au Québec. Elles vivent près du
sol. Larochelle a observé P.
pectoralis
« en petites colonies, sous l'écorce déhiscente de souches de Chênes
dans les bois denses; aussi sous les morceaux de bois pourris, en
terrain humide » (Larochelle, 1983). Les réduves allongent parfois le
premier article des antennes vers l'avant et replient sous la tête le
reste des antennes. Photos sur BugGuide. |
Liste des espèces de Reduviidae du Québec | |||
La liste des
espèces a été tirée de Maw et
al. (2000). Pour connaître les espèces présentes
dans les
régions adjacentes au Québec, consultez la liste de
Roch (2024). Maw et al. (2000) mentionne la présence au Québec de Melanolestes picipes (Herrich-Schaeffer). Toutefois, en travaillant sur sa liste, Roch (comm. person.) a découvert que cette espèce avait été erronément mentionnée au Québec. |
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Nom | Sous-famille | Notes | Caractéristiques |
Acholla multispinosa (De Geer) | Harpactorinae | Ajout à Maw et al. (2000). | Fémurs antérieurs larges, granuleux et armés d'épines mais suivis de tibias sans épines. |
Barce fraterna (Say) | Emesinae | Incluant les sous-espèces fraterna et annulipes. | Hanches (coxae) antérieures très longues (au moins quatre fois plus longues que larges). Corps et pattes remarquablement allongés. |
Empicoris errabundus (Say) | Emesinae | Genre Empicoris Hanches (coxae) antérieures très longues (au moins quatre fois plus longues que larges). Petite taille (4 à 7 mm) par rapport aux autres réduves (sauf Phymata sp.) qui mesurent plus de 10 mm. |
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Empicoris parshleyi (Bergroth) | Emesinae | ||
Empicoris pilosus (Fieber) | Emesinae | ||
Empicoris vagabundus (Linnaeus) | Emesinae | ||
Fitchia aptera Stål | Harpactorinae | Aptère brun pâle avec une large bande longitudinale sur le dos. | |
Phymata americana Melin | Phymatinae | Dans Maw et al. (2000), P. americana americana Melin. | Genre Phymata Abdomen élargi latéralement bien au-delà des ailes et traversé d'une grande bande sombre. Fémurs avant gonflés formant une pince avec le tibia. Verdâtre ou orange avec du brun ou du noir. |
Phymata pennsylvanica Handlirsch | Phymatinae | ||
Pygolampis pectoralis (Say) | Stenopodainae | Genre Pygolampis N'a pas les hanches antérieures longues des Emesinae ni les fémurs antérieurs larges et granuleux des Harpactorinae. Le premier article du rostre est presque deux fois aussi long que les 2 autres articles. P. pectoralis vit au sol, sous des souches. La distribution de P. sericea est localisée (Larochelle, 1983). |
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Pygolampis sericea Stål | Stenopodainae | ||
Reduvius personatus (Linnaeus) | Reduviinae | Vit dans les habitations. Adulte noir, la nymphe se camoufle avec des débris. | |
Sinea diadema (Fabricius) | Harpactorinae | Fémurs antérieurs larges, granuleux et armés d'épines et suivis de tibias avec épines. | |
Zelus luridus Stål | Harpactorinae | La mention de Z. exsanguis, par exemple dans Larochelle (1983), serait plutôt Z. luridus (Hart, 1986). | Genre Zelus Pattes avant fines. Premier article du rostre court. Pronotum avec deux épines latérales. Z. luridus est vert. Régions plus ou moins étendues de brun ou de noir, selon l'individu. Z. tetracanthus est plutôt brunâtre ou noirâtre. Anneaux foncés sur les pattes. |
Zelus tetracanthus Stål | Harpactorinae | Zelus audax Banks et Z. audax Banks sont synonymes (Hart, 1986). | |
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